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Margny-les-Compiègne en bref
Administrée par Bernard Hellal, Margny-les-Compiègne compte plus de 8000 habitants, ce qui en fait la deuxième ville la plus peuplée de l’agglomération. Margny dispose du plus grand pôle événementiel du département avec le Tigre.
Il est situé sur les hauts de Margny à proximité de l’aérodrome, l’un des plus anciens de France. La commune dispose de superbes infrastructures sportives, tels la salle Marcel-Guérin ou le stade de football Robert-Dubois, récemment doté d’un terrain synthétique. C’est désormais au court de tennis de connaitre un lifting.
C’est à l’issue de la réception du Picantin ARC que Bernard Hellal (Maire de Margny-lès-Compiègne),
accompagné entre-autres de plusieurs membres de son conseil municipal a signé le protocole de ré-adhésion
de sa commune à l’OSARC lundi 16 décembre 2024.
LES ASSOCIATIONS SPORTIVES
LES SITES SPORTIFS
Salle Marcel Guérin
194, rue Louis Gracin
Salle Aimé Dennel
114, allée Marcel Guérin
Aérodrome
rue Georges Guynemer
Stade Robert Dubois
638, rue de la République
Stade des hauts de Margny
1472, avenue Octave Butin
Centre de tir Léon Barras
653, rue Georges Clémenceau
Gymnase Claude Debussy
1059, rue de la République
Courts de tennis
194, rue Louis Gracin
Jeu d’arc
670, rue de la République
Boulodrome Jean Harlez
638 rue de la République
Boulodrome Christian Olive
19, avenue Octave Butin
Au cœur de l’histoire de Margny
Comme dans la plupart des communes qu’il dessert, l’arrivée du chemin de fer, en 1847, a profondément bouleversé la vie de Margny-lès-Compiègne, une commune jusqu’alors agricole. Une nouvelle population, celle des cheminots, s’est en effet dans la foulée établie à Margny, où la Compagnie des chemins de fer du nord a acquis des terrains pour lui construire des logements. C’est ainsi que la cité des cheminots a vu le jour sur les hauts de Margny, à proximité de Venette. Dans la foulée, un club omnisport a été créé : l’Association sportive des cheminots de Compiègne-Margny avec des sections athlétisme, basket, pétanque et boule lyonnaise. Chacune disposait alors d’un terrain dédié à sa pratique. Aujourd’hui seul le réputé club de basket porte toujours ce nom. Quant aux maisons en bois de la cité, elles ont été détruites à la fin des années 1980.