Jaux en bref
La commune de Jaux est administrée par Sidonie Muselet. Elle compte un peu plus de 2 600 habitants appelés les Jauens et Jauennes. Elle a aussi la particularité de compter quatre hameaux : Dizocourt, Varanval, les Tartres et Bouquy.
Jaux dispose de plusieurs infrastructures sportives : une salle des sports qui sera prochainement refaite, un terrain de football, un jeu d’arc, un court de tennis, qui a été réaménagé avec notamment des agrès sportifs, et un city-stade. Depuis peu une piste cyclable permet de relier la commune à celle de Venette.
Sidonie Muselet (Maire de Jaux) a signé le protocole de ré-adhésion
de sa commune à l’OSARC mercredi 4 décembre 2024.
LES ASSOCIATIONS SPORTIVES
LES SITES SPORTIFS
Le jeu d’arc
rue de la gare
Salle des sports
rue de la gare
Stade de football
rue de la gare
City-stade
Ruelle de la charpenterie
Au cœur du patrimoine de Jaux
Depuis la route nationale 31, on aperçoit une ancienne bâtisse isolée au milieu d’un écrin de verdure.
Il s’agit du prieuré de Boucquy qui a été fondé au XIIe siècle. L’édifice est la nef d’une église autrefois deux fois plus longue et se trouvait entourée d’un ensemble de bâtis. Son nom se rapporte au lieu même où le domaine a été érigée : le toponyme Boucquy vient du nom « bosquet », de l’ancien français bosc, qui signifiait petit bois. Un historien du XIXe siècle assure que « la chapelle a été élevée sur l’emplacement d’un bosquet sacré dédié aux dieux du paganisme » et évoque des « célébrations druidiques et païennes » en ce lieu avant sa christianisation. Il existe à proximité de la chapelle une source qui a dû jouer un rôle essentiel dans l’emplacement du lieu de sanctuaire. La résurgence à quelques mètres de l’église fût baptisée Fontaine Notre-Dame.
Les habitants maçonnèrent un petit bassin en pierre pour pouvoir y puiser de l’eau et orientèrent son écoulement afin d’alimenter un petit étang dans lequel ils élevaient du poisson. On attribuait jadis à l’eau de cette fontaine certaines propriétés curatives.